Pourquoi le jazz a-t-il si bien tourné ?
Résumés
Traiter du flamenco en relevant quelques-uns de ses parallèles avec le vieux blues, c’est tracer une comparaison qui confronte certaines genèses, généalogies et descendances et faire du mystère du jazz un problème. Le cante flamenco n’a pas su jusqu’à présent se fondre avec d'autres courants dans un flot aussi vaste que le jazz, persistant dans l’être mais toujours renouvelé et devenu universel. Des indices de ce contraste sont recherchés dans certaines tendances récentes du flamenco, à visée syncrétique (flamenco-rock, etc.), que menace cependant l’écueil d'une pure juxtaposition. Toutes ces questions traversent l’anthropologie, et si justement le jazz a si bien tourné, c’est aussi parce qu’il est une sorte d’anthropologie musicale.
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Haut de pagePour citer ce document
Référence papier
Jean-Luc Jamard, « Pourquoi le jazz a-t-il si bien tourné ? », L’Homme, 158-159 | 2001, 73-96.
Référence électronique
Jean-Luc Jamard, « Pourquoi le jazz a-t-il si bien tourné ? », L’Homme [En ligne], 158-159 | avril-septembre 2001, mis en ligne le 25 mai 2007, consulté le 19 avril 2024. URL : http://journals.openedition.org/lhomme/102 ; DOI : https://doi.org/10.4000/lhomme.102
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